Quelle fierté pour Le Coq Sportif d'avoir pu connecter deux de nos plus beaux partenariats !
Equipée par Le Coq Sportif, l’équipe de France féminine de rugby à 7 a eu l’opportunité de recevoir à Marcoussis la visite de danseurs et danseuses de l’Opéra de Paris, marquant un moment d’échange entre deux univers que tout semble séparer mais finalement assez similaires.
Mais quand nous creusons et mettons des athlètes de haut niveau face à face nombreux sont les points d'accroches, les synergies : soucis du détail, rapport à la préparation physique, exigence du très haut niveau, maîtrise du tempo, les portées (en touche comme sur scène)... Les danseurs et danseuses de ballet ont pu assister à un entraînement de l’équipe de rugby et mesurer les efforts nécessaires. Pour Carla Neisen, « C’est un honneur de les recevoir. On échange beaucoup avec eux sur nos quotidiens respectifs. C’est vraiment chouette de pouvoir découvrir d’autres milieux ».
Les danseurs et danseuses les plus audacieux ont même tenté la touche à la fin de l’entraînement, encouragés par Chloé Pelle et Séraphine Okemba.
Les joueuses de l’équipe de France de rugby à 7 se sont ensuite rendues au Palais Garnier quelques semaines plus tard, pour assister à une répétition du spectacle "Gisèle".
« C’est l’occasion pour nous de découvrir un autre univers mais qui en même temps est très proche du nôtre et vers lequel on aimerait tendre, c’est-à-dire l’exigence et la capacité à travailler ensemble. Je crois qu’on est dans un endroit rêvé pour ça. Donc voilà, on en profite », explique Germain Igarza, l’entraîneur adjoint de France 7 féminin.
Les joueuses ont également eu la chance de visiter le Palais Garnier, culminant dans la salle de studio située sous la coupole du Palais, avant de participer à un petit cours particulier de danse. Une belle manière de conclure cette après-midi mémorable avant de retrouver les terrains dès le lendemain.
« On ne peut pas faire mieux en termes d’exigence que la danse et notamment ici à l’Opéra de Paris. On demande beaucoup d’adaptation à nos joueuses et on leur demande aussi de répéter quelques petits lancements, quelques mouvements. C’est parfait pour échanger sur les différentes manières de voir les choses ».
